15 juin 1982
auteur : Calet C. -
Depuis une trentaine d'années l'évolution des rations animales a conduit à leur simplification et à faire appel à des matières premières stockables et importées; énergie avec le manioc, protéines avec le soja.Les protéines représentent le troisième poste déficitaire de la balance commerciale française. C'est pourquoi les Pouvoirs publics se préoccupent de leur production, en particulier à partir des légumineuses fourragères et protéagineuses. Les prairies apportent aujourd'hui 40 % des besoins protéiques du troupeau national mais pourraient en produire certainement plus.A l'avenir, il conviendrait de mieux utiliser les protéines fourragères et les sous-produits. Les protéines nationales permettraient d'ailleurs d'abaisser le prix des aliments composés. Pour cela de nombreuses études techniques sont encore nécessaires.
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