le 27 mars 2013
Loquet M.
Au niveau européen
Sur les sites suivants, les participants pourront trouver
notamment le "position paper" dans lequel les services
de la Commission présente son cadre du dialogue avec la France
sur la manière dont cette dernière devrait mettre en cohérence lors de la
prochaine programmation (2014-2020) les fonds
européens (FEDER, FSE, FEADER, FEAMP) pour
relever les défis s'imposant à elle. Vous pourrez noter que l'innovation
(p. 12 et 23) et le changement climatique (atténuation
et adaptation cf . p. 14 et 31) font l'objet d'une attention
particulière. Concernant l'innovation, vous pourrez lire que l'implication
de tous les acteurs-clés à travers des
groupes opérationnels est à favoriser
(cf. aussi note de bas de page n°10 à p. 12 relative au
partenariat européen d'innovation « Productivité et
développement durable de l'agriculture » COM(2012) 79 final -
http://ec.europa.eu/agriculture/eip/pdf/com2012-79_fr.pdf.).
http://www.europe-en-france.gouv.fr/
http://ec.europa.eu/regional_policy/what/future/pdf/partnership/fr_position_paper.pdf
Au niveau français
- PNACC :
www.developpement-durable.gouv.fr/-Le-plan-national-d-adaptation,3023-.html (avec le chapitre
agriculture en p. 34 et 101)
- la démarche produisons autrement avec sa plate-forme
dédiée : http://agriculture.gouv.fr/Produisons-autrement
- le projet agro-écologique pour la France :
http://agriculture.gouv.fr/Conference-nationale-Stephane-Le
En guise d'illustration pour ces 2 derniers points, la
plaquette sur les MAE est intéressante à découvrir, notamment
les exemples repris également au titre de l'adaptation au
changement climatique [même si les MAE ont été construites
avec d'autres finalités initialement] en p. 11, 16 et 23 :
http://agriculture.gouv.fr/Les-mesures-agroenvironnementales,19574
A propos de la question concernant la prise en compte de
l'atténuation au même titre que l'adaptation, je
réaffirme que les politiques mises en œuvre en France ou en
cours d’élaboration reposent sur ces deux piliers :
- l’adaptation, qui consiste à intervenir pour limiter les
inconvénients des impacts résultant du changement climatique
et en exploiter les avantages éventuels ;
- l’atténuation, qui vise la réduction des émissions de GES,
l'augmentation des « puits » de carbone et la substitution à
l'énergie fossile.
En guise d'illustration, j'invite les participants au
séminaire à lire "le plan de relance exceptionnel pour
l'élevage" communiqué lors du Conseil des Ministres du 6
mars dernier, qui dans son 4ème point soutient le
développement de la production d'énergies renouvelables, dont
le la méthanisation agricole avec un plan présenté ce
jour dans le Morbihan.
http://agriculture.gouv.fr/Plan-relance-elevage